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La cave O Des Lys

7 février 2009

Un après midi de Délys

Quand le temps se fait maussade, delys décide de jouer un peu...
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Et devinez quel sera le résultats ?

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Elle a décidé d'aguicher son Lo..
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Et c'est avec ses joujous qu'elle ouvre le bal

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Allez voir l'album "Dimanche de Délys.. et si nuos avons bcp de commentaires, d'idées de photos :)
alors Délys posera de nouveau selon vos envies :)

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8 août 2008

Tit délire Délycieu

allez voir la galerie Goût :)
bises
Délys et Lo

20 juillet 2008

Le contrat de Delys

 

Contrat officiel

 

Je soussignée, Délys, Soumise Délyssieuse de Lo, accepte les termes du contrat suivant :

A partir de ce jour, dimanche 20 juillet 2008 14H à dimanche prochain 14h, Délys devra, tous les jours en rentrant à la maison, enlever sa petite culotte et se vêtir d’une jupe, et ce, même en cas de visite à l’appartement.

Si la clause du contrat n’est pas respectée, Délys se verra affligée de 3 coups de badine par jour de non respect du contrat.

Dans le cas contraire, Lo la récompensera d’une exquise douceur.

 

Fait le 20 juillet 2008

Lu et approuvé

Délys

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14 juin 2008

le fruit de la passion

délys est vraiment une gourmande... :)
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24 mai 2008

quelques chifres...

Nous avons créé ce blog en Avril 2006.
Depuis cette date, vous avez été 34 676 à visiter notre blog, dont 3 497 visiteurs réguliers.
Au total, 159 852 pages ont étés vues depuis la création de ce site :)

Merci aux 10 visiteurs qui ont bien voulus laisser une trace de leur passage :)

Bisous libertins à tous.
Délys et Lo

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18 mai 2008

Un après midi de Délys

Comment combler Délys un après midi ?
Prenez d'abord cette charmante demoiselle dans une tenue des plus attirante.
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Puis caressez doucement sa poitrine, jusqu'à obtenir des tétons bien dures !


Emprisonnez les alors quelques minutes pour les rendre encore plus sensibles.P5189764






Puis comblez son envie avec les boules de geisha et regardez le résultat au retour d'une promenade légère.
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Quelques caresses de s part ferons monter encore l'envie. P5189770_2

Un manque a combler ? vite ajoutez une touche exotique, pour son plus grand Délys.
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laissez enfin reposer 45 minutes lors d'une discussion MSN endiablée avec une inconnue...
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Dégustez enfin, pour le plaisir de la langue, de l'ouïe, du toucher...
Bon appétit :)

4 mai 2008

Punition du jour : Écrire sous la douce torture Loesque…

A vrai dire, je ne pensais pas l’exercice si difficile. Cependant, je m’en doutais, car dès lors que Lo s’occupe de moi, je ne réponds plus de rien ; mes sens prennent le dessus, sur tout dans l’absolu : mes pensées, mon raisonnement, la parole… tout devient si confus. Peut-être, m’étais-je dit, qu’écrire me permettrait d’éclaircir le tout, car c’est ainsi que je m’exprime le plus aisément. Mais il n’en a rien été.

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 Nous étions dans la chambre quand il m’a murmuré les ordres : aller chercher le pc portable et revenir… a priori, rien de bien compliqué, mais il m’avait déjà mise dans cet état de confusion qui devenait de plus en plus profond. Il m’annonçait une punition longue, qui pourrait s’étirer sur plusieurs jours. Quand je suis hors de cet état, ses promesses m’excitent, mais à partir du moment où cet état a pris le dessus, je ne m’en sens plus capable.

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Je ne voulais plus que lui lécher les seins avec le bout de ma langue, le prendre dans ma bouche tout doucement, jusqu’à ce qu’il craque et me retourne pour me prendre fougueusement, ou que je craque moi-même et que ce soit mon sexe qui vienne trouver le sien. Mais il m’a répété l’ordre, et je savais que je n’avais aucune autre alternative.

 De retour dans la chambre, je cherchais désespérément le logiciel de traitement de texte, mais la version avait expiré… il me fallait en trouver un autre. Encore une fois, ceci n’est qu’un jeu d’enfant, outre le fait qu’il m’avait installée à plat ventre sur deux énormes oreillers, les jambes attachées de chaque côté du lit, mon sexe et mes fesses offertes et que sa langue s’en donnait à cœur joie sur mon petit clitoris. Lire : « votre version d’essai a expiré », comprendre, fermer la fenêtre, trouver l’exploreur, je vais jouir… trouver l’exploreur, trouver Works, cliquer, respirer, se concentrer, non double cliquer et…..… Works s’ouvre et Lo est à côté de moi, offrant son sein à ma langue.

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 Il s’en va et me laisse commencer mon récit tranquillement :

 

« Me  voici donc devant cette page blanche ; je dois écrire, mais dans des circonstances peu habituelles. Imaginez écrire, allongée sur le ventre, les fesses et la chatte offerte, alors que l’on vous caresse, tout doucement. J’ai le ventre en feu, et il faut que je me concentre pour pouvoir aligner des mots cohérents les uns à la suite des autres.

Comme je l’ai mentionné, toutes les parties de mon corps sont accessibles : à sa langue que je sens à présent courrir sur mon clitoris, à ses mains que je sentais il y a quelques secondes, ses doigts… je m’abandonne.

 

A présent il échauffe mes fesses avec une spatule et promène ensuite sa langue… je sens mon petit cul rempli et j’ai de plus en plus de mal à me concentrer sur les lettres. Heureusement j’arrive à écrire les yeux fermés… j’ai un joujou entre les cuisses qui va et vient… je ne sais pas ce que c’est car je dois garder les yeux rivés sur l’écran, mais j’en suis d’autant plus excitée..; douce alterance entre ses doigts et cet objet, ses caresses sur mes fesses stimulées m. trop de sesntations me parcourrent à la fois pour que je puisse les décrire une à une

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Un coup e de spatule me réveille de ma douce toupeur.là je n’y arrive plus. Il sait que j’aime sentir s’introduire tout doucement à l’intérieur d emon petit cul

.je ne sais plus où j’en suis . Je prends une profonde inspiration. Je suis seule face à l’ordinateur à présent, un vibreur entre les jambes. Il est parti pour me laisser écrire, mais c’est horrible comme je n’y arrive pas. Je n’arrive pas à rester concentrée, j’ai dans l’esprit un défilé dimages, dans le corps un évantail de sentations. Je ne parviens pas à faire le tri, c’est très confus ; j’attends les surprises et les inventions sensorielles de Lo. Je respire, encore et encore. J’ai envie de l’appeler pour qu’il méprenne maintenant, sentir son sexe chaud mais j’attends sagement car j’ai envie de savoir ce qu’il a réservé pour la suite.

J’entends l’objectif de l’appareil photo se mettre en route , descente un moment à la réalité, jem’étonne de l’heure mais je retombe vite dans le cosmos sensoriel, notre univers j »

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 A partir de ce moment, je n’ai plus été en mesure d’écrire… un texte à première vue mal écrit, rempli de coquilles, mais il me plaît tellement ainsi. Je n’ai pas envie de le toucher, de le corriger, car chaque mot, chaque lettre y a sa place ; sa relecture me fait revivre chaque moment, telle une photographie subliminale qui s’y cacherait.

 

17 février 2008

De l’autre coté du miroir ...

Plusieurs fois je me suis demandée ce qu’il se passait de l’autre côté… au théâtre, je me plais à imaginer l’envers du décor ; lors d’un feu d’artifice j’essaye de visualiser la préparation de l’artificier avant son spectacle explosif et magique ; pouvoir se mettre à la place du présentateur télé et imaginer l’attente avant l’enregistrement du journal…

Ainsi, ce dimanche matin, lorsque Lo a cherché désespérément à se connecter à notre blog, j’ai eu une idée ; plus qu’une idée, une envie : envie de savoir comment il pouvait vivre nos jeux, ce qu’il pouvait ressentir de son point de vue, à sa place, dans sa peau.

De plus, cela faisait longtemps que je n’avais pas écrit. J’avais pourtant pour consigne de noter toutes mes envies, chaque jour, dans un petit carnet. Cependant, ces dernières semaines je n’écrivais plus… non pas parce que je n’avais plus d’envies, non pas parce que je ne pensais pas à lui, car malgré son absence tout le long de la journée, il m’accompagne dans mes pensées. Non pas non plus que je n’avais pas le temps… mais le petit laps de temps libre, pendant lequel j’aurais pu écrire, je me le consacrais égoïstement : prendre une douche chaude, me promener et profiter d’un rayon de soleil, me faire les ongles, un masque, me laisser aller à rêvasser lovée dans le canapé…

Ainsi, ce dimanche j’avais envie d’écrire et j’avais trouvé mon thème :

Lo est parti sous la douche, et juste avant, il m’a enlacée contre le canapé me donnant ses consignes : je devais aller prendre la mienne ensuite et l’attendre nue, allongée sur le lit. Quelque part, j’avais envie de savoir ce qu’il avait de prévu au programme, et je me serais bien laissée tentée par sa proposition, mais mon idée ne voulait pas me lâcher. J’ai donc acquiescé, le sourire en coin, car pour une fois, c’est lui qui allait être mon petit objet, et l’objet de mes surprises….

J’ai attendu qu’il soit dans la douche pour lui écrire un mot et lui donner mes consignes. J’avais les rênes du jeu en main et je sentais l’excitation monter par le simple fait d’imaginer ses réactions, et les petits supplices que je lui réservais. Plus j’étais excitée, plus la force de mon imagination se décuplait. Une première surprise pour moi… est-il dans le même état quand il planifie nos jeux ?

divers_118J’attendais qu’il sorte de la salle de bain pour être sûre qu’il accepte les termes de mon contrat… je l’ai vu se faufiler dans la chambre ; c’était mon feu vert… en quelques secondes, j’ai enfilé une petite jupe, celle qu’il préfère, et sans sous-vêtements bien sûr, ainsi qu’un petit chemisier blanc. J’ai gribouillé quelques lignes pour lancer le jeu et je suis allée dans la chambre le retrouver.

Comme je le lui avais indiqué, il était au lit, nu… j’ai souri à le voir sous la couette, étant donné que c’est ce que je fais à chaque fois quand j’ai trop froid… j’ai compris pourquoi il avait l’air un peu déçu, car je l’imaginais étendu, son sexe tendu et au lieu de cela, je ne voyais qu’une petite mèche de cheveux dépasser du bleu de la couette, ce que je trouvais, malgré tout, mignon. J’ai souri aussi parce que je me suis dit que cette expérience serait pleine de surprises pour lui aussi et qu’il comprendrait beaucoup de mes attitudes quand je suis à sa place.

Son regard était plein d’envie à mesure que je me rapprochais du lit. Je me suis mise sur son ventre et lui ai tendu mon mot. Il disait de me trouver un mot clé pour définir la tendance du jeu, et que pendant ce temps là, je m’occuperai de ses seins. Bien entendu, dès qu’il aurait prononcé ce mot je m’arrêterais car il marquerait le début de ses supplices. En fait, par ce simple mot, je savais que son supplice avait commencé : il aime tellement que je lèche le bout de ses seins, que je les fasse rouler tout doucement sur le bout de mes doigts… je savais que son mot clé tarderait à venir. L’autre consigne était de ne parler que quand je l’y autoriserais, mais d’emblée, il s’est mis à me décrire ses ressentis, les images à travers lesquelles son imagination vagabondait, à me parler de ses fantasmes. Là est toute la différence entre nous : j’en suis absolument incapable ; à partir du moment où il me touche, me caresse, je suis dans l’incapacité d’émettre un son intelligible quelconque. L’autre différence, c’est qu’il n’aurait pas déroger à ma place ; il m’aurait faite taire, car il en avait décidé ainsi, alors que ce qu’il me disait était tellement excitant, que je ne pouvais que boire ses paroles et imaginer avec lui.

Enfin, son mot est sorti… encore une surprise pour moi. Autant j’imaginais un adjectif, un nom révélateur de ce qu’il aurait voulu subir, autant ses mots ont été plus que jamais touchants. Que lui répondre, quand il m’a pris le visage entre les mains, m’a murmuré suavement à l’oreille « mon mot est : je t’aime », en m’embrassant ensuite langoureusement ? Je suis restée sans voix, oubliant quelques instants le jeu dans lequel nous étions, et voulant tout simplement le serrer dans mes bras et lui faire l’amour tout doucement. Je pense que si j’avais prononcé ces mots comme mot clé, il m’aurait dit : « un mot, un seul »… il y en avait trois… devais-je contester et le punir pour cela ? Certainement pas. J’avais été surprise et émue… à son tour à présent.

Pendant quelques instants, je me suis occupée de son sexe, à le lécher de part en part, l’aspirer, le tendre au maximum. Je lui ai couvert les yeux, afin qu’il devine simplement ce qu’il se passait… je sais que c’est ce que j’aime le plus. Ne pas vraiment savoir ce qu’il se passe, ni comment cela se passe. Ainsi, je me concentre sur les sensations qui me paraissent beaucoup plus vives… elles sont exacerbées. C’est ainsi que je lui ai mis le bonhomme noir entre les mains ; je me suis retournée, afin qu’il sente le mouvement et la position, je l’ai laissé étaler le gel entre mes fesses, et sans réfléchir et parce que j’en avais une envie monstre, je l’ai laissé glisser à l’intérieur, en un seul geste. J’étais dans un état second tellement c’était fort : l’imaginer imaginer, me sentir observée sans l’être.

Bien entendu, il n’était pas très discipliné. Ses mains ne cessaient de se promener le long de mon dos, sur le haut de mes fesses, s’égaraient entre mes jambes pour sentir mon clitoris en feu et le réchauffer d’autant plus. J’aurais dû l’attacher… mais je pense qu’il n’aurait pas aimé. Le but étant de se faire plaisir mutuellement et non pas singer tout ce qu’il me fait habituellement. D’ailleurs, nous n’aimons pas les mêmes choses : il aime avoir les seins sensibles à force de douceur et moi, j’aime les pinces, les sentir emprisonner mes seins et la libération est d’autant meilleure. J’aime être attachée et ne plus être maitresse de rien ; il aime tout de même participer, sentir… il serait trop frustré et aurait bien moins de plaisir. …

Pour finir, je lui ai ordonné de se lever… j’ai senti un moment de rébellion. J’aurais fait pareil je pense : être allongé, le dos au chaud, dans une sorte de léthargie et devoir se lever relevait du supplice… j’admets que ce moment-là avait un léger goût de vengeance, pour toutes les fois où il me l’avait fait faire. Mais il s’est levé, s’est mis au pied du lit, sans doute par curiosité, pour savoir quelle serait la suite.

J’ai empoigné le joujou chinois, j’ai mis en route et me suis allongée. Le voir m’observer, en face prêt à bondir m’excitait sans doute plus que le joujou à cet instant. Quelques aller et venues en plus auraient suffit à me faire jouir, mais je contrôlais ; je voulais garder ce moment pour nous, ensemble.

J’étais aux portes de la jouissance ; elles étaient grandes ouvertes. C’est alors que je lui ai rendu sa liberté, pensant qu’il me prendrait et que je pourrais enfin me laisser aller, franchir la frontière. Quelle n’a pas été ma surprise, lorsqu’il s’est précipité sur les pieds du lit, profitant de ma position, pour me lier les pieds et les poings…

14 avril 2007

Délys la délicieuse....

Et voilà à la demande générale, quelques nouvelles photos de  la belle :)
Pour en voir d'autre, b'hésitez pas, laissez des commentaires et donnez nous des idées de ce que vous aimeriez voir :)
Bises Delys et Lo

ps : allez voir l'album Delys est délicieuse :) divers_063

29 juillet 2006

Léa

Léa

 

Prologue :

Délys et Lo discutent depuis quelques temps avec la charmante Léa…. Jeune parisienne, dans la même optique que Délys et Lo, elle c’est prétée elle aussi au troublant jeu de l’écriture J

Délys à donc composé un texte, imagination de la rencontre de notre couple avec Léa…

Chef d’œuvre inachevé, Délys et Léa se sont relayé pour chacune de leur côter imaginer la suite de cette rencontre…

Voici pour vous le résultats de ce jeux du cadavre exquis écris par un duo des plus charmant.

 

Léa

Texte initial … Ecrit par Délys

 

C’était l’été… il faisait très chaud dans la capitale, des promeneurs décontractés déambulaient en tenues légères, profitant de petits coins d’ombre ou de terrasses, un verre rafraîchissant à la main… le calme régnait, loin du tumulte habituel de cette grande ville. Tu ne savais pas ce que vous faisiez là, à vrai dire, ton homme et toi. Tu étais toute ankylosée à cause de cette chaleur et surtout parce que vous aviez marché pendant de nombreuses heures, pendant lesquelles tu l’interrogeais. Il ne voulait rien te dire : ni où vous alliez, ni avec qui vous alliez être. Enfin, vous vous êtes assis sur l’herbe, dans ce parc presque désert, à l’ombre d’un arbre. Tu restais muette, à cause de la fatigue, mais aussi parce que de nombreuses questions te venaient en tête, questions déjà posées et qui n’avaient pas trouvé réponse.

 

Il t’a proposé d’aller chercher quelque chose à boire à la petite buvette de l’autre côté du parc…tu le regardais s’éloigner en te demandant comment il faisait pour garder cette fraîcheur à toute épreuve… A mesure qu’il disparaissait au loin, tu étendais tes jambes douloureuses sur l’herbe, laissant le soin de ne pas trop relever ta jupe afin que les rares promeneurs ne découvrent pas tes fesses nues. Tu as posé la tête contre le sol, prête à te laisser caresser par le soleil et engourdir par sa chaleur. Cependant, d’autres caresses sont venues s’emparer de ton visage… les yeux clos, tu te laissais faire. La main experte et douce te caressait les cheveux, descendait dans le cou, s’attardaient dans la nuque, presque trempée à cause de la chaleur. Ton nez s’est brusquement mis en action et tu as senti un parfum étranger, celui d’une femme. Tu continuais cependant de te laisser faire, pensant que ton nez te jouait des tours… tu as entendu des pas, et deux autres mains se poser sur ton visage… quatre mains… à présent une odeur bien connue était présente et se mélangeait à l’autre. Tu as doucement relevé la tête pour découvrir, au-dessus de toi, ton homme et un visage déjà familier : celui de Léa. Elle venait juste de se matérialiser devant toi, au moment même où tu as ouvert les yeux. Tu es restée sans voix, face au sourire de ton homme, prêt à éclater de rire face à ta réaction, et aussi parce qu’il avait bien mené sa surprise, et face à elle, toute sourire également. Tu as bu l’eau fraîche goulûment, pour te réveiller et te défaire de cette chaleur hypnotisante… tu pensais être encore mi dans un rêve, mi dans la réalité. Et les deux autres ne parlaient pas, restaient ainsi à te regarder. Tu as fini par lâcher un « et bien ? Pour une surprise, ça c’est une surprise ! » A partir de ce moment-là chacun a raconté toute la mise en scène qui avait été nécessaire pour t’amener là, sans que tu ne doutes de rien : les coups de fil, le lieu de rendez-vous, le jour… tout avait été planifié, millimétré. Et toi, tu pensais à un simple séjour culturel.

Puis, il y a eu un long blanc, sans doute pour marquer le passage du virtuel au réel. Vous, qui étiez si bavards sur le Net, ne saviez plus quoi dire. C’était un peu comme si vous veniez de rencontrer une inconnue dans ce parc… c’est elle qui a alors brisé la glace en faisant une allusion à l’une de vos conversations. Vous avez alors parlé de tout et de rien pendant des heures, jusqu’à ce que vos estomacs crient famine. Elle vous a donc guidé vers un petit restaurant très intimiste, dans une petite rue ombragée. Petite salade au menu, arrosée de rosée.

La conversation était gaie, animée, pleine de fraîcheur. Il était donc dommage, après ce gentil repas, de laisser la demoiselle rentrer chez elle et de ne pas profiter encore de sa douce compagnie. C’est ainsi que vous avez écumé les bars… vous en aviez fait au moins trois en moins d’une heure, l’alcool, la chaleur, commençait à vous désinhiber. La discussion prenait des tournures très orientée : elle était douée à ce jeu là…avant de quitter le dernier bar, une envie pressante s’est déclarée chez vous trois. Tu es donc allée aux toilettes des dames avec la jeune fille, laissant ton homme visiter ceux qui lui étaient destinés. En repoussant la porte des toilettes, tu as croisé son regard, et vous avez tout de suite deviné la suite des événements : elle a fait descendre son string au niveau des genoux, tu as suivi, vous l’avez enlevé pour vous les échanger... le tout dans un grand éclat de rire, que d’ailleurs ton homme n’a pas compris et que vous n’arriviez pas à expliquer… de toute façon, il était sensé ignorer l’histoire !

Vous avez alors un peu marché, afin de faire descendre un petit peu l’euphorie de l’alcool, mais cette euphorie ne faisait que grandir. Lorsque vous vous êtes assis sur les bords de Seine, Lui à ta droite, elle à ta gauche, le silence a enfin fini par régner… une main est venue se poser sur ton sein, pendant que l’autre remontait le long de ta jambe et effleurer ton sexe qui gagnait en humidité. La main sur ton sein l’a senti se raidir, et l’autre sur ta jambe devinait les frissons… vous vous êtes alors levés et avez suivi la demoiselle dans un silence complet.

Vous êtes arrivés au pied de son immeuble, et pendant qu’elle cherchait ses clés, tu sentais le souffle chaud de ton homme dans ton cou, ses mains sur tes hanches qu’il massait délicatement. Ton envie devenait furieuse et tu devinais la sienne au contact de son sexe dur contre le bas de ton dos. Elle s’est alors retournée et a pu lire les lignes de l’envie dans vos yeux. D’un seul geste de la main, elle vous a invité à monter, puis vous asseoir sur son canapé. Elle a disparu un court instant, le temps pour ton homme de t’embrasser fougueusement pendant que sa main malaxait tes seins…tu t’es agenouillée en face de lui, lui déboutonnais sa chemisette, prête à la lui arracher, pour enfin voir son torse, et de petites gouttes de sueur perler le long de son ventre. Tu les lui as essuyées avec le bout de ta langue, venue chercher ensuite son sein droit, lorsque tu as senti derrière toi deux mains se plaquer contre tes seins… elle s’est alors exclamée : « un peu pour moi », en te tirant et te faire asseoir sur la table basse, face à ton homme. Elle jouait avec tes seins, te déshabillait et tu te laissais faire.

Tu t’es retrouvée nue sur cette table basse, la regardant déshabiller ton homme à son tour. Il était scotché au fond de son canapé, tout émoustillé. Lorsqu’elle a ôté son caleçon, tu as découvert de visu, l’amplitude de son excitation. Vous étiez donc là, l’un en face de l’autre, nus, assis, avec elle au milieu. Elle s’est alors tournée vers lui, pour enlever son haut et lui laisser découvrir sa poitrine généreuse. Elle s’est penchée légèrement, a posé ses mains au dessous de ses seins, comme pour les lui offrir. Il y a porté ses mains, et en a effleuré les tétons, mais elle s’est retournée afin de les présenter à ta bouche. Tu t’en occupais doucement pendant qu’elle enlevait sa jupe, et ton string devenu tout humide lui aussi. Elle l’a délicatement posé sur les genoux de ton homme, qui a compris à cet instant ce qui s’était passé dans les toilettes du bar quelques heures auparavant. Le string trempé entre ses mains et cette anecdote, et le fait de te voir t’occuper si gentiment des seins de la demoiselle était de trop pour lui. L’excitation était à son comble. Il s’est alors levé pour se mettre derrière toi et te caresser les seins. Elle s’est lentement dégagée de ta bouche pour aller se mettre derrière lui et attraper son sexe avec grande fermeté. Il a alors stoppé net ses caresses pour laisser échapper quelques gémissements avant de te prendre par les épaules et t’allonger sur la table basse. Il s’est mis au dessus de toi, pour te présenter son sexe à ta bouche et tu l’as englouti… en dessous de lui, elle s’est installée afin de jouer avec ton clitoris muni de sa langue. Elle en faisait le tour tout doucement, pour enfin le lécher, alors que lui ne cessait ses mouvements de va-et-vient…

 

 

La suite du premier texte … Ecrite par Délys

 

Tu t’es brutalement soulevée, afin de coller ta tête contre le canapé, les mains au niveau des oreilles, les jambes droites, le dos courbé, afin d’offrir ton sexe rempli d’envie. Elle a doucement soulevé tes bras afin de se glisser entre toi et le canapé et s’occuper à nouveau de tes seins. Quant à lui, face à la proposition qui lui était faite, il n’a pu se retenir d’aller te pénétrer au plus profond de toi, en douceur pour commencer, puis de plus en plus fort, de plus en plus vite… Elle et lui semblaient au diapason, quant à l’intensité des caresses, une fabuleuse harmonie, et au moment ou tu as senti la jouissance venir, ils se sont arrêtés, tous les deux, en même temps, pour te laisser, assise sur le canapé, les jambes grandes ouvertes, les contempler : elle l’a allongé sur la table basse, et l’a pris dans sa bouche, avec une douceur extrême, sans délaisser le rythme. Il tenait sa poitrine entre ses mains, poitrine devenue si grosse et si ferme. Alors, elle l’a chevauché, profitant quelques instant de son sexe dans le sien, et lorsqu’il est sorti d’elle, il avait le sexe reluisant, plein de sa rosée à elle. D’un regard coquin, elle s’est tournée vers toi, s’est accroupie au dessus de lui, a écarté ses petites fesses, et s’est empalée sur lui. Tu n’as pu retenir tes mains, venues te malaxer le sexe qui dégoulinait. Elle s’est alors retirée pour venir poser sa langue sur ton clitoris en érection, le laissant seul, à son tour, spectateur. Il s’est assis doucement, le regard hagard, pendant que tu la faisais prendre place sur le canapé et goûter à son tour le doux sort qu’elle venait de te faire subir. Il t’a alors saisi les hanches, t’a pénétrée et en cœur, la jouissance est venue résonner dans la pièce. Photoshop, qui dormait paisiblement, a fait un bond dans son panier, ses griffes lacérant le coussin, les yeux exhorbités, et devant ce spectacle de douceur et de bien-être qui vous animait, dans les bras des uns des autres, respirant la sérénité et le rassasiement, il s’est rendormi, dans un grand ronronnement qui vous a bercé jusqu’au début d’après-midi.

Quatre mains sont venues te réveiller, puis deux langues t’ont parcouru le corps… tu étais encore tout engourdie, as émergé tout doucement dans ce flot de caresses. L’odeur du café te chatouillait le nez, le pain grillé, et surtout, leur parfum qui se mélangeaient autour de toi. Il s’est assis au fond du lit pour boire son café, loin du rayon du soleil venu illuminer les draps. Quatre mains sont venues lui prodiguer de nombreuses caresses afin qu’il délaisse son café et vienne s’occuper de vous… mais par jeu, il résistait. Il voulait voir jusqu’où vous pourriez aller, jusqu’où il pourrait cacher son envie et faire semblant de résister. Le soleil est venu se refléter sur vos dents lorsque vous avez souri avec complicité. Elle s’est levée pour revenir quelques secondes plus tard avec une mallette rose, pleine de surprises. Telles deux prestidigitatrices, vous étiez en face de lui, la mallette entre vous. En silence, elle a sorti un bonhomme rose, et l’a posé sur le sol. Tu l’as humidifié de ta bouche, ne le quittant pas des yeux, lui, impassible avec sa tasse de café, pendant qu’elle écartait les bras en ta direction, en signe de démonstration, un grand sourire aux lèvres. Elle t’a alors allongée sur le sol, lèché goulûment tes seins, et a sorti deux pinces en forme de papillon, toujours de couleur rose, et les lui a montrées. Avec la même théâtralité, elle les a doucement accrochés à tes têtons, puis elle s’est munie du bonhomme rose. Tu t’es accroupie, pour lui laisser le soin de te l’introduire dans ce petit orifice qui ne demandait que cela depuis qu’il avait aperçu ce bonhomme à la couleur de bonbon. Tu n’as pu retenir un cri de plaisir, et le sexe de l’impassible a triplé de volume… pas si impassible que cela ! Mais il restait toujours assis, immobile, le café refroidissant dans la tasse posée sur sa cuisse. Tu t’es alors levée pour saluer ton public. A son tour, elle s’est accroupie, et tu as sorti un long collier de perles de la mallette… des perles de taille croissante, translucides, et roses, bien entendue. Tu les lui as introduites une à une, et à chaque passage, son corps se tendait de plaisir aussi crescendo que la taille des perles. Il était toujours assis, immobile, mais une main n’a pu s’empêcher de venir se saisir de son sexe. Elle s’est alors levée, t’as prise par la main et vous avez salué ensemble le public. Elle et toi sentiez les petits joujoux introduits en vous, et la porte du plaisir s’ouvrir en grand. Vous vous êtes alors approchées de lui, elle a saisi sa main afin de lui montriez à quel point vous étiez humides. Il s’est alors mu, mais vous l’avez repoussé au fond du lit. Toujours dans son jeu de résistance, et aussi par amusement dans le fait de voir la suite des événements, il y est resté. Mais vous, vous en sortiez progressivement. Debout, l’une en face de l’autre, vous vous caressiez les seins, en le regardant avec défi, juste pour l’énerver. Il commençait à serrer les dents, et d’un geste brusque il s’est levé, vous a fait chacune à votre tour, vous mettre contre le mur. Il a commencé par ôter le bonhomme rose et a introduit son sexe dans cet orifice béant. Puis il a retiré le joli collier de perles de la demoiselle afin de faire de même. Elle s’est jetée sur lui, pendant que tu t’amusais avec elle et le bonhomme rose, puis tu t’es mise sur le dos, offrant ton sexe à celui ou celle qui voudrait bien le prendre. La langue de la jeune fille y a atterri en premier en y donnant des petits coups brefs et précis qui t’ont faite jouir dans la seconde. Tu l’as alors retournée brutalement pour lui introduire le bonhomme rose, pendant que ta langue faisait de grands arcs de cercle autour de son nombril, et un gémissement a suivi. Il n’a pas eu le temps de réagir à ce qui venait de se passer, quand une langue s’est emparée de son sein, un doigt triturait l’autre, et une bouche enrobait son sexe. A son tour, il a joui…

L’odeur du café flottait encore autour d’eux et les a reveillé quelques heures plus tard… le temps pour eux, de se doucher, de le savourer en silence, mais leurs regards en disait long. Pas besoin de mots, pas besoin de geste… juste des regards et ils communiquaient leur bien-être. Elle vous a laissé vous en aller, au pied de son immeuble, sous les regards interrogateurs des passants, qui ne comprenaient pas vos étreintes et embrassades multiples, et multifusionnelles. Vous avez pris place dans le bus, alors qu’elle s’asseyait dans son canapé, Photoshop ronronnant encore… depuis, il ronronne toujours et n’a jamais cessé !

 

 

 

 

Toujours la suite du premier texte … mais écrites par Léa elle-même !

 

Les bougies répandaient une odeur enivrante, le vent chaud faisait frémir les voilages qui séparaient la scène de l’extérieur. La langue de Délys caressait la queue dont la peau était tendue à l’extrême par ses mains délicates mais qui, à chaque petit coup de langue sur son clitoris ou ses petites lèvres, se serraient comme un étau. Le garçon se tenait là, les yeux rivés sur les deux jolies demoiselles nues, elle gémissait tout doucement, il voyait le corps de Délys se cambrer à chaque assaut de plaisir et il ressentait comme une osmose entre leurs trois corps, il pouvait sentir les caresses de Léa à travers le corps et l’esprit de sa femme… Les mains de Léa courraient sur les cuisses et les fesses de la jeune femme, sa peau était douce et son odeur particulièrement excitante, un mélange de parfum frais et de transpiration qui lui donnait un léger goût salé. Mais Lo ne pouvait plus résister, il rêvait de ce moment depuis si longtemps, il l’avait pensé et repensé des dizaines de fois … Il saisit les deux femmes nues par la main et les emmena vers le lit et s’éloigna un peu pour admirer ce spectacle, la femme de sa vie dans les bras d’une presque inconnue.

 

Elles s’étaient laissées guider vers la chambre sans se quitter des yeux, le lit accueilli leurs deux corps. La lumière du soleil de cette fin de journée, donnait des couleurs sépia aux doux draps roses de cette chambre de fille, leurs peaux bronzées s’accordaient parfaitement. Lo était muet devant tant de beauté…les mains de Léa se promenaient sur la poitrine de son amante, son ventre, ses cotes, Délys était couchée sur le dos, visiblement détendue mais encore un peu maladroite, elle n’avait, à ce jour, encore jamais posé les mains sur le corps d’une autre femme mais la douceur du visage de Léa et son sourire bienveillant la rassuraient. Elle s’abandonna quelques minutes aux caresses de la jeune femme puis elle senti un manque, son Lo, elle avait besoin de lui, de sa peau, de son odeur, de ses mains pour se sentir complètement en confiance. Elle l’appela donc entre deux soupirs de plaisir, il s’approcha en silence pour saisir sa main et lui murmurer à l’oreille que tout allait bien, qu’elle n’avait jamais été aussi belle et que c’était encore plus glamour que dans ses rêves. A ces mots le corps tout entier de Délys se relâcha et elle senti les lèvres de la jeune femme se poser sur son pubis et remonter vers son nombril, les cheveux lui caressaient le ventre au passage et le voyage des douces lèvres continua jusqu’au sillon d’entre ses seins gonflés de désir, c’est à ce moment qu’elle senti une sensation d’une rare douceur sur son ventre, les seins de la jolie inconnue venaient de se poser sur sa peau…et suivaient le mouvement des lèvres sur sa poitrine. Ses mains se dirigèrent instinctivement vers cette zone et se glissèrent entre son corps et la peau douce de cette poitrine généreuse. Elle n’osa pas tout de suite les saisir mais se rappela des caresses de son homme qu’elle appréciait jusqu'à la douleur, ses doigts se refermèrent donc vigoureusement sur les seins arrachant un petit cri de plaisir à la demoiselle qui s’affairait sur son téton droit en le faisant claquer entre sa langue et sa lèvre inférieure, tout en l’aspirant légèrement. Surprise, Léa leva les yeux vers les deux amoureux qui la regardaient, ses seins étaient compressés entre les fins doigts de Délys, elle avait chaud, très chaud, elle fit glisser son corps le long de celui de la jeune femme pour que leurs lèvres puissent se rejoindre, mais ce sont celles de Lo qu’elle rencontra en premier, sa langue humide et douce caressait goulûment sa bouche, léchait ses lèvres, se promenait sur ses dents…C’est alors qu’elle senti le corps de Délys se raidir, Oups, était elle allée trop loin avec son homme ?, mais c’était lui qui avait trouvé ses lèvres ! Léa ouvrit les yeux pour regarder la belle et aviser de sorte à ne pas la choquer mais à peine eut elle le temps de penser qu’elle senti la bouche de Délys se poser dans son cou et remonter rapidement vers les deux bouches déjà en action, Ouf, le charme ne sera pas rompu. Les trois langues jouaient entre elles, les mains de Lo se mêlèrent aux caresses des filles mais sa bouche descendit les deux corps enlacés tantôt sur l’une tantôt sur l’autre, sa langue experte savait ou s’arrêter, insister et titiller les zones érogènes, il essayait de ne privilégier aucune des deux femme, il était bien sûr tenté par l’inconnu mais le corps de son amoureuse qu’il connaissait par cœur le rassurait, il s’amusa à comparer les réactions des deux filles, Léa réagissait vraiment aux caresses du ventre, Délys quand à elle, était sensible des cotes… Il se régalait écoutant toujours les réactions des filles pour vérifier que Délys était à l’aise. C’était lui qui avait organisé cette rencontre avec la jolie Léa d’Internet, Délys avait toujours parlé de coucher avec une autre fille mais il la savait angoissée à l’idée de passer à l’acte…pourtant tout avait l’air de se passer à merveille…elles chuchotaient même…Délys avait l’air heureuse, rassuré, il plongea entre ses cuisses.

Quelle douceur d’embrasser le doux visage d’une femme, pensait Délys, empoignant en même temps les longs cheveux de Léa qui embrassait le grain de beauté qu’elle avait déjà remarqué au creux de son cou sur les photos...Léa lui demanda tout doucement à l’oreille si tout allait bien, si ça n’allait pas trop vite, la belle répondit avec un sourire qui laissait deviner ses jolies incisives que non, tout était parfait et se mordit la lèvre quand la langue de son chéri atteint son clitoris… Passé le moment du premier contact sur son sexe, Délys glissa sa main sur le pubis de Léa et caressa délicatement son sexe, là, la sensation lui était moins étrangère, elle s’était tant de fois caressée mais ses doigts devaient chercher pour trouver l’entrée du vagin, passer les grandes lèvres, ah le clitoris et son capuchon(Léa souffla très fort dans son cou), puis les petites lèvres s’écartent c’est la que c’est tout mouillé, très très mouillé d’ailleurs se dit elle quand Lo glissa sa langue dans son petit trou, il la connaissait vraiment bien, elle fut impatiente de comparer avec les caresses de cette femme qu’elle serrait dans ses bras et que son index qui venait juste de rentrer profondément en elle faisait se contorsionner de plaisir.

Quelle ne fut pas la surprise de Lo quand quittant le merveilleux derrière de sa femme pour goûter celui de Léa, il tomba sur la main de Délys, oui, ce sont bien ses bagues qu’il reconnaît là, lui qui se faisait du souci pour sa belle, elle semble s’être plutôt bien adaptée à la situation !!! Mais il n’avait aucun doute à ce sujet, jamais il n’aurait pris le risque de la mettre mal à l’aise ou de la blesser, elle était très joueuse sexuellement, et ce genre de jeu lui plairait à coup sûr….il était content et enfonça son visage dans le sexe de Léa, plus salé que l’autre… tiens tiens ?

Léa senti le doigt de sa copine sortir délicatement de son sexe frottant au passage les zones les plus sensibles de son corps, la langue de Lo pris le relais, elle se serra dans les bras de Délys tant la sensation était puissante, elle tendait ses fesses dans la direction de Lo, tous ses trous étaient grands ouverts prêts à recevoir une dose de plaisir…c’est à ce moment la que Délys se dégagea de ses bras pour s’installer tête-bêche avec elle, lui présentant ses cuisses ouvertes et son sexe rasé, d’un rose frais luisant de jus et de salive. Léa s’engouffra entres les jambes de sa belle et explora d’abord chaque parcelle de cette zone qu’elle avait entr’aperçu un jour sur la webcam…toute la peau était d’une grande finesse, le goût ? plutôt sucré… toujours la même odeur de parfum et de transpiration qu’elle avait senti quand elles avaient échangé leurs strings toute à l’heure…depuis cet instant, son esprit était tout entier focalisé sur ces quelques centimètres carrés de tissu qui collaient à son sexe… les lèvres de Délys s’ouvraient toutes seules, Lo avait déjà réveillé les sensations, il ne restait plus qu’à laisser aller les caresses pour la faire décoller…elle glissa la pointe de sa langue dans la fente et fit vibrer tout l’intérieur de son vagin, enfila un doigt pour chercher le point G tout en titillant son petit clito tout gonflé de plaisir et de désir. Lo savait y faire pour caresser une femme, sa langue, ses lèvres et ses doigts se relayaient dans le sexe de Léa, qui mouillait de plus en plus…mais si Léa était tête-bêche avec Délys et que Lo s’affairait entre les cuisses de la première ? Mais que faisait Délys ? et bien elle gémissait tendrement sous les caresses de l’inconnue tout en ayant les yeux fixés sur son homme qui léchait, mordillait, frottait le sexe de sa partenaire, et ça l’excitait comme une folle, elle se tordit pour présenter son anus a la belle, elle voyait Lo caresser le petit passage de leur conquête, elle voulait qu’elle lui ouvre ce passage aussi, Léa obtempéra en pointant sa langue dans le cul détendu et offert de Délys….Délys en avait assez des préliminaires elle se senti suffisamment en confiance pour prendre la direction des opérations…  « Prends moi mon chéri !! » cria t’elle tout a coup… Presque désolé d’abandonner son action, Lo se dégagea des cuisses de Léa en lui faisant un sourire amoureux…Léa aussi avait lâché l’affaire tant ce cri venait du cœur! Délys se tenait déjà au bord du lit à quatre pattes les fesses tendus vers le plafond, son sexe offert à la queue de son homme qui la pénétra profondément dès le premier assaut lui arrachant un long gémissement qui mit Léa dans tous ses états…La jeune parisienne glissa sous la belle pour jouer avec ses seins pendant que Lo la prenait avec douceur et fermeté, on pouvait entendre claquer les fesses de Délys, et chaque claquement était accompagné d’un gémissement, elle disait son nom aussi  « Lo, Oh Lo Oh oui Loo » ses mains agrippaient le drap tant le plaisir était intense…son visage avait pris l’air sérieux des femmes qui jouissent, la bouche entr’ouverte, les yeux clos, les joues crispées… Léa observait, pour elle aussi c’était une première fois, elle avait déjà couché avec des hommes et fait l’amour avec des femmes mais toujours en couple, elle était fascinée par le spectacle qui se déroulait sous ses yeux. Ils étaient jeunes, beaux, drôles, libérés, ouverts à la différence, il l’avaient accueilli tout de suite comme une amie, autant lui qu’elle, les sujets de conversation s’imposaient d’eux même, entre deux histoires coquines, ils s‘intéressaient vraiment à elle, à son humeur, à sa façon de vivre, à son métier, la musique qu’elle écoute, la politique…et ils étaient là, sur son lit, en train de se faire l’amour, lui qui respirait très fort, ses fesses allaient et venaient, et elle la en avant, ses petits seins ballottés de droite à gauche et ses gémissements tendres et violents…et puis soudain Délys fit sortir Léa de sa torpeur…  « Viens ma Léa, viens je vais te donner du plaisir à toi aussi ! » c’est ainsi que Délys prit le sexe de Léa dans sa bouche pendant que Lo la prenait, elle utilisait les mouvements de Lo pour caresser Léa de son visage, en laissant sa langue pénétrer toutes les parties cachées de la vulve grande ouverte…elle s’en sortait très bien, Léa lui caressait les cheveux et la pointe de ses seins frottaient contre le drap….ils jouissaient tous les trois, leurs gémissements s’accordaient parfaitement ; une parfaite harmonie…Puis survint l’orgasme de Délys, sentant le moment fatidique arriver, Lo l’avait poussée en avant, son visage s’était plaqué sur le ventre de Léa, elle entendait battre son cœur très fort, elle la serra d’autant plus fort et jouit collée à elle les poings fermés sur le drap, le visage crispé le souffle coupé, les yeux clos et la bouche grande ouverte, incapable même de produire un son, puis un grand cri, un aaaaah de délivrance. Dans les secondes qui suivirent elle se détendit totalement, elle souriait, les joues rougies par le plaisir, elle se libéra du sexe de Lo, et monta sur Léa pour l’embrasser et lui dire « A toi maintenant ma belle ! » Lo les rejoignit sur le lit et ce fut Délys qui prit les choses en main dans un grand calme, elle installa Léa sur le dos, ouvrit ses jambes, caressa son sexe au passage, ses gestes étaient d’une extrême douceur, Lo vint se placer au dessus de la fille que sa femme lui offrait, Délys saisit son sexe, écarta les lèvres qui entourent l’entrée du vagin de Léa et y fit pénétrer elle-même le pénis de son homme, ce pénis qu’elle était la seule a caresser, à sucer, à frotter contre son corps, elle venait de l’offrir à Léa qui à son tour poussait des gémissements de plaisir. Délys observait aussi Lo qui visiblement était très appliqué, très attentif aux réactions de Léa qui se tenait étendue les jambes en l’air…Délys regardait aussi le beau sexe de Lo qui entrait et sortait du corps de leur amante, des lèvres de Léa qui épousaient parfaitement la forme de la verge, de ses petites fesses écrasées sous le poids de la pénétration, et les testicules de Lo qui venaient frapper contre le cul de Léa… Elle s’approcha des deux sexes en action, saisit les couilles de son hommes avec délicatesse pour les caresser et d’un doigt qu’elle venait d’humidifier dans son propre sexe caressa et pénétra l’anus de la jolie parisienne et se régla sur le rythme inverse de celui de Lo pour procurer le maximum de plaisir a Léa… l’effet fut immédiat, la jeune femme se contracta et poussa un cri de jouissance puissant…

 

Une fois l’effet passé, les quatre mains de Léa et Lo se joignirent pour caresser la belle Délys, Léa s’occupait des seins et du clitoris pendant que Lo préparait gentiment le petit trou de sa princesse, le corps de Délys se remit en action, les gémissements les petits cris quand Lo écartait son anus, un doigt « mmmh », puis deux « haaaaan », puis trois « ooooooooh » pendant que Léa la caressait, quoi de meilleur ?...quoi ? et bien la suite, quand Lo la sodomisa, à quatre pattes et que Léa s’était glissée sous elle pour continuer à stimuler son sexe, Délys senti son esprit défaillir de nouveau, le nirvana s’ouvrait à elle, elle sentait son homme et sa nouvelle femme en même temps s ‘introduire tous deux dans son corps et lui arracher des râles de plaisir, puis les assauts de Lo se firent un peu plus violents moins rythmés, son souffle devenait court, toutes deux comprirent que Lo était sur le point d’éjaculer, Léa sorti d’entre les pattes de Délys et alla se glisser contre le dos musclé et luisant de L’homme qui leur avait si bien fait l’amour, elle l’entoura de ses bras, glissa une main sous ses bourses et plaqua son sexe contre ses fesses pour sentir chaque vibrations de sa jouissance….comme prévu, Lo fut pris de cinq ou six longs spasmes, le sperme coula dans les profondeurs de Délys qui elle aussi ressentait chaque vibration, ils ne formaient plus qu’un seul être, qu’un seul corps….ils s’écroulèrent tous les trois enlacés sur le lit défait ; le soir venait de tomber sur Paris, une belle nuit chaude commençait et les deux filles se tenaient la main par-dessus l’homme qui leur avait permis de se retrouver là, Léa n’arrivait pas à dormir, elle ne voulait pas que cette journée se termine…puis ses yeux se fermèrent et elle s’endormi blottie contre son « pti’couple »…

FIN…EN ATTENDANT LE P’TI DEJ’…..

 …à Adeline et son prince charmant…  

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LEA


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La cave O Des Lys
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