Léa
Prologue :
Délys et Lo
discutent depuis quelques temps avec la charmante Léa…. Jeune parisienne, dans
la même optique que Délys et Lo, elle c’est prétée elle aussi au troublant jeu
de l’écriture J
Délys à donc
composé un texte, imagination de la rencontre de notre couple avec Léa…
Chef d’œuvre
inachevé, Délys et Léa se sont relayé pour chacune de leur côter imaginer la
suite de cette rencontre…
Voici pour vous
le résultats de ce jeux du cadavre exquis écris par un duo des plus charmant.
Léa
Texte initial … Ecrit par Délys
C’était l’été… il faisait très chaud dans la capitale, des promeneurs
décontractés déambulaient en tenues légères, profitant de petits coins d’ombre
ou de terrasses, un verre rafraîchissant à la main… le calme régnait, loin du
tumulte habituel de cette grande ville. Tu ne savais pas ce que vous faisiez
là, à vrai dire, ton homme et toi. Tu étais toute ankylosée à cause de cette
chaleur et surtout parce que vous aviez marché pendant de nombreuses heures,
pendant lesquelles tu l’interrogeais. Il ne voulait rien te dire : ni où
vous alliez, ni avec qui vous alliez être. Enfin, vous vous êtes assis sur
l’herbe, dans ce parc presque désert, à l’ombre d’un arbre. Tu restais muette,
à cause de la fatigue, mais aussi parce que de nombreuses questions te venaient
en tête, questions déjà posées et qui n’avaient pas trouvé réponse.
Il t’a proposé d’aller chercher quelque chose à boire à la petite buvette
de l’autre côté du parc…tu le regardais s’éloigner en te demandant comment il
faisait pour garder cette fraîcheur à toute épreuve… A mesure qu’il
disparaissait au loin, tu étendais tes jambes douloureuses sur l’herbe,
laissant le soin de ne pas trop relever ta jupe afin que les rares promeneurs
ne découvrent pas tes fesses nues. Tu as posé la tête contre le sol, prête à te
laisser caresser par le soleil et engourdir par sa chaleur. Cependant, d’autres
caresses sont venues s’emparer de ton visage… les yeux clos, tu te laissais
faire. La main experte et douce te caressait les cheveux, descendait dans le
cou, s’attardaient dans la nuque, presque trempée à cause de la chaleur. Ton
nez s’est brusquement mis en action et tu as senti un parfum étranger, celui
d’une femme. Tu continuais cependant de te laisser faire, pensant que ton nez
te jouait des tours… tu as entendu des pas, et deux autres mains se poser sur
ton visage… quatre mains… à présent une odeur bien connue était présente et se
mélangeait à l’autre. Tu as doucement relevé la tête pour découvrir, au-dessus
de toi, ton homme et un visage déjà familier : celui de Léa. Elle venait
juste de se matérialiser devant toi, au moment même où tu as ouvert les yeux.
Tu es restée sans voix, face au sourire de ton homme, prêt à éclater de rire
face à ta réaction, et aussi parce qu’il avait bien mené sa surprise, et face à
elle, toute sourire également. Tu as bu l’eau fraîche goulûment, pour te
réveiller et te défaire de cette chaleur hypnotisante… tu pensais être encore
mi dans un rêve, mi dans la réalité. Et les deux autres ne parlaient pas,
restaient ainsi à te regarder. Tu as fini par lâcher un « et bien ?
Pour une surprise, ça c’est une surprise ! » A partir de ce moment-là
chacun a raconté toute la mise en scène qui avait été nécessaire pour t’amener
là, sans que tu ne doutes de rien : les coups de fil, le lieu de
rendez-vous, le jour… tout avait été planifié, millimétré. Et toi, tu pensais à
un simple séjour culturel.
Puis, il y a eu un long blanc, sans doute pour marquer le passage du
virtuel au réel. Vous, qui étiez si bavards sur le Net, ne saviez plus quoi
dire. C’était un peu comme si vous veniez de rencontrer une inconnue dans ce
parc… c’est elle qui a alors brisé la glace en faisant une allusion à l’une de
vos conversations. Vous avez alors parlé de tout et de rien pendant des heures,
jusqu’à ce que vos estomacs crient famine. Elle vous a donc guidé vers un petit
restaurant très intimiste, dans une petite rue ombragée. Petite salade au menu,
arrosée de rosée.
La conversation était gaie, animée, pleine de fraîcheur. Il était donc
dommage, après ce gentil repas, de laisser la demoiselle rentrer chez elle et
de ne pas profiter encore de sa douce compagnie. C’est ainsi que vous avez
écumé les bars… vous en aviez fait au moins trois en moins d’une heure,
l’alcool, la chaleur, commençait à vous désinhiber. La discussion prenait des
tournures très orientée : elle était douée à ce jeu là…avant de quitter le
dernier bar, une envie pressante s’est déclarée chez vous trois. Tu es donc
allée aux toilettes des dames avec la jeune fille, laissant ton homme visiter
ceux qui lui étaient destinés. En repoussant la porte des toilettes, tu as
croisé son regard, et vous avez tout de suite deviné la suite des
événements : elle a fait descendre son string au niveau des genoux, tu as
suivi, vous l’avez enlevé pour vous les échanger... le tout dans un grand éclat
de rire, que d’ailleurs ton homme n’a pas compris et que vous n’arriviez pas à
expliquer… de toute façon, il était sensé ignorer l’histoire !
Vous avez alors un peu marché, afin de faire descendre un petit peu
l’euphorie de l’alcool, mais cette euphorie ne faisait que grandir. Lorsque vous vous êtes assis sur les bords de
Seine, Lui à ta droite, elle à ta gauche, le silence a enfin fini par régner…
une main est venue se poser sur ton sein, pendant que l’autre remontait le long
de ta jambe et effleurer ton sexe qui gagnait en humidité. La main sur ton sein
l’a senti se raidir, et l’autre sur ta jambe devinait les frissons… vous vous
êtes alors levés et avez suivi la demoiselle dans un silence complet.
Vous êtes arrivés au pied de son immeuble, et pendant qu’elle cherchait
ses clés, tu sentais le souffle chaud de ton homme dans ton cou, ses mains sur
tes hanches qu’il massait délicatement. Ton envie devenait furieuse et tu
devinais la sienne au contact de son sexe dur contre le bas de ton dos. Elle
s’est alors retournée et a pu lire les lignes de l’envie dans vos yeux. D’un
seul geste de la main, elle vous a invité à monter, puis vous asseoir sur son
canapé. Elle a disparu un court instant, le temps pour ton homme de t’embrasser
fougueusement pendant que sa main malaxait tes seins…tu t’es agenouillée en
face de lui, lui déboutonnais sa
chemisette, prête à la lui arracher, pour enfin voir son torse, et de petites
gouttes de sueur perler le long de son ventre. Tu les lui as essuyées avec le
bout de ta langue, venue chercher ensuite son sein droit, lorsque tu as senti
derrière toi deux mains se plaquer contre tes seins… elle s’est alors
exclamée : « un peu pour moi », en te tirant et te faire asseoir
sur la table basse, face à ton homme. Elle jouait avec tes seins, te déshabillait
et tu te laissais faire.
Tu t’es retrouvée nue sur cette table basse, la regardant déshabiller ton
homme à son tour. Il était scotché au fond de son canapé, tout émoustillé.
Lorsqu’elle a ôté son caleçon, tu as découvert de visu, l’amplitude de son
excitation. Vous étiez donc là, l’un en face de l’autre, nus, assis, avec elle
au milieu. Elle s’est alors tournée vers lui, pour enlever son haut et lui
laisser découvrir sa poitrine généreuse. Elle s’est penchée légèrement, a posé
ses mains au dessous de ses seins, comme pour les lui offrir. Il y a porté ses
mains, et en a effleuré les tétons, mais elle s’est retournée afin de les
présenter à ta bouche. Tu t’en occupais doucement pendant qu’elle enlevait sa
jupe, et ton string devenu tout humide lui aussi. Elle l’a délicatement posé
sur les genoux de ton homme, qui a compris à cet instant ce qui s’était passé
dans les toilettes du bar quelques heures auparavant. Le string trempé entre
ses mains et cette anecdote, et le fait de te voir t’occuper si gentiment des
seins de la demoiselle était de trop pour lui. L’excitation était à son comble.
Il s’est alors levé pour se mettre derrière toi et te caresser les seins. Elle
s’est lentement dégagée de ta bouche pour aller se mettre derrière lui et
attraper son sexe avec grande fermeté. Il a alors stoppé net ses caresses pour
laisser échapper quelques gémissements avant de te prendre par les épaules et
t’allonger sur la table basse. Il s’est mis au dessus de toi, pour te présenter
son sexe à ta bouche et tu l’as englouti… en dessous de lui, elle s’est
installée afin de jouer avec ton clitoris muni de sa langue. Elle en faisait le
tour tout doucement, pour enfin le lécher, alors que lui ne cessait ses
mouvements de va-et-vient…
La suite du premier texte … Ecrite par Délys
Tu t’es brutalement soulevée, afin de coller ta tête contre le canapé,
les mains au niveau des oreilles, les jambes droites, le dos courbé, afin
d’offrir ton sexe rempli d’envie. Elle a doucement soulevé tes bras afin de se
glisser entre toi et le canapé et s’occuper à nouveau de tes seins. Quant à
lui, face à la proposition qui lui était faite, il n’a pu se retenir d’aller te
pénétrer au plus profond de toi, en douceur pour commencer, puis de plus en
plus fort, de plus en plus vite… Elle et lui semblaient au diapason, quant à
l’intensité des caresses, une fabuleuse harmonie, et au moment ou tu as senti
la jouissance venir, ils se sont arrêtés, tous les deux, en même temps, pour te laisser, assise sur le canapé, les
jambes grandes ouvertes, les contempler : elle l’a allongé sur la table
basse, et l’a pris dans sa bouche, avec une douceur extrême, sans délaisser le
rythme. Il tenait sa poitrine entre ses mains, poitrine devenue si grosse et si
ferme. Alors, elle l’a chevauché, profitant quelques instant de son sexe dans
le sien, et lorsqu’il est sorti d’elle, il avait le sexe reluisant, plein de sa
rosée à elle. D’un regard coquin, elle s’est tournée vers toi, s’est accroupie
au dessus de lui, a écarté ses petites fesses, et s’est empalée sur lui. Tu
n’as pu retenir tes mains, venues te malaxer le sexe qui dégoulinait. Elle
s’est alors retirée pour venir poser sa langue sur ton clitoris en érection, le
laissant seul, à son tour, spectateur. Il s’est assis doucement, le regard
hagard, pendant que tu la faisais prendre place sur le canapé et goûter à son
tour le doux sort qu’elle venait de te faire subir. Il t’a alors saisi les
hanches, t’a pénétrée et en cœur, la jouissance est venue résonner dans la pièce.
Photoshop, qui dormait paisiblement, a fait un bond dans son panier, ses
griffes lacérant le coussin, les yeux exhorbités, et devant ce spectacle de
douceur et de bien-être qui vous animait, dans les bras des uns des autres,
respirant la sérénité et le rassasiement, il s’est rendormi, dans un grand
ronronnement qui vous a bercé jusqu’au début d’après-midi.
Quatre mains sont venues te réveiller, puis deux langues t’ont parcouru
le corps… tu étais encore tout engourdie, as émergé tout doucement dans ce flot
de caresses. L’odeur du café te chatouillait le nez, le pain grillé, et
surtout, leur parfum qui se mélangeaient autour de toi. Il s’est assis au fond
du lit pour boire son café, loin du rayon du soleil venu illuminer les draps.
Quatre mains sont venues lui prodiguer de nombreuses caresses afin qu’il
délaisse son café et vienne s’occuper de vous… mais par jeu, il résistait. Il
voulait voir jusqu’où vous pourriez aller, jusqu’où il pourrait cacher son
envie et faire semblant de résister. Le
soleil est venu se refléter sur vos dents lorsque vous avez souri avec
complicité. Elle s’est levée pour revenir quelques secondes plus tard avec une
mallette rose, pleine de surprises. Telles deux prestidigitatrices, vous étiez
en face de lui, la mallette entre vous. En silence, elle a sorti un bonhomme
rose, et l’a posé sur le sol. Tu l’as humidifié de ta bouche, ne le quittant
pas des yeux, lui, impassible avec sa tasse de café, pendant qu’elle écartait
les bras en ta direction, en signe de démonstration, un grand sourire aux
lèvres. Elle t’a alors allongée sur le sol, lèché goulûment tes seins, et a
sorti deux pinces en forme de papillon, toujours de couleur rose, et les lui a
montrées. Avec la même théâtralité, elle les a doucement accrochés à tes
têtons, puis elle s’est munie du bonhomme rose. Tu t’es accroupie, pour lui
laisser le soin de te l’introduire dans ce petit orifice qui ne demandait que
cela depuis qu’il avait aperçu ce bonhomme à la couleur de bonbon. Tu n’as pu
retenir un cri de plaisir, et le sexe de l’impassible a triplé de volume… pas
si impassible que cela ! Mais il restait toujours assis, immobile, le café
refroidissant dans la tasse posée sur sa cuisse. Tu t’es alors levée pour
saluer ton public. A son tour, elle s’est accroupie, et tu as sorti un long
collier de perles de la mallette… des perles de taille croissante,
translucides, et roses, bien entendue. Tu les lui as introduites une à une, et
à chaque passage, son corps se tendait de plaisir aussi crescendo que la taille
des perles. Il était toujours assis,
immobile, mais une main n’a pu s’empêcher de venir se saisir de son sexe. Elle
s’est alors levée, t’as prise par la main et vous avez salué ensemble le
public. Elle et toi sentiez les petits joujoux introduits en vous, et la porte
du plaisir s’ouvrir en grand. Vous vous êtes alors approchées de lui, elle a
saisi sa main afin de lui montriez à quel point vous étiez humides. Il s’est
alors mu, mais vous l’avez repoussé au fond du lit. Toujours dans son jeu de
résistance, et aussi par amusement dans le fait de voir la suite des
événements, il y est resté. Mais vous, vous en sortiez progressivement. Debout,
l’une en face de l’autre, vous vous caressiez les seins, en le regardant avec
défi, juste pour l’énerver. Il commençait à serrer les dents, et d’un geste
brusque il s’est levé, vous a fait chacune à votre tour, vous mettre contre le
mur. Il a commencé par ôter le bonhomme rose et a introduit son sexe dans cet
orifice béant. Puis il a retiré le joli collier de perles de la demoiselle afin
de faire de même. Elle s’est jetée sur lui, pendant que tu t’amusais avec elle
et le bonhomme rose, puis tu t’es mise sur le dos, offrant ton sexe à celui ou
celle qui voudrait bien le prendre. La langue de la jeune fille y a atterri en
premier en y donnant des petits coups brefs et précis qui t’ont faite jouir
dans la seconde. Tu l’as alors retournée brutalement pour lui introduire le
bonhomme rose, pendant que ta langue faisait de grands arcs de cercle autour de
son nombril, et un gémissement a suivi. Il n’a pas eu le temps de réagir à ce
qui venait de se passer, quand une langue s’est emparée de son sein, un doigt
triturait l’autre, et une bouche enrobait son sexe. A son tour, il a joui…
L’odeur du café flottait encore autour d’eux et les a reveillé quelques
heures plus tard… le temps pour eux, de se doucher, de le savourer en silence,
mais leurs regards en disait long. Pas besoin de mots, pas besoin de geste…
juste des regards et ils communiquaient leur bien-être. Elle vous a laissé vous
en aller, au pied de son immeuble, sous les regards interrogateurs des
passants, qui ne comprenaient pas vos étreintes et embrassades multiples, et
multifusionnelles. Vous avez pris place dans le bus, alors qu’elle s’asseyait dans son canapé, Photoshop
ronronnant encore… depuis, il ronronne toujours et n’a jamais cessé !
Toujours la suite du premier texte … mais
écrites par Léa elle-même !
Les bougies répandaient une odeur enivrante, le vent chaud faisait frémir
les voilages qui séparaient la scène de l’extérieur. La langue de Délys
caressait la queue dont la peau était tendue à l’extrême par ses mains délicates mais qui, à chaque petit coup
de langue sur son clitoris ou ses petites lèvres, se serraient comme un étau.
Le garçon se tenait là, les yeux rivés sur les deux jolies demoiselles nues,
elle gémissait tout doucement, il voyait le corps de Délys se cambrer à chaque
assaut de plaisir et il ressentait comme une osmose entre leurs trois corps, il
pouvait sentir les caresses de Léa à travers le corps et l’esprit de sa femme…
Les mains de Léa courraient sur les cuisses et les fesses de la jeune femme, sa
peau était douce et son odeur particulièrement excitante, un mélange de parfum
frais et de transpiration qui lui donnait un léger goût salé. Mais Lo ne
pouvait plus résister, il rêvait de ce moment depuis si longtemps, il l’avait
pensé et repensé des dizaines de fois … Il saisit les deux femmes nues par la main et les emmena vers le lit et
s’éloigna un peu pour admirer ce spectacle, la femme de sa vie dans les bras d’une
presque inconnue.
Elles s’étaient laissées guider vers la chambre sans se quitter des yeux,
le lit accueilli leurs deux corps. La lumière du soleil de cette fin de
journée, donnait des couleurs sépia aux doux draps roses de cette chambre de
fille, leurs peaux bronzées s’accordaient parfaitement. Lo était muet devant tant de beauté…les mains
de Léa se promenaient sur la poitrine de son amante, son ventre, ses cotes,
Délys était couchée sur le dos, visiblement détendue mais encore un peu
maladroite, elle n’avait, à ce jour, encore jamais posé les mains sur le corps
d’une autre femme mais la douceur du visage de Léa et son sourire bienveillant
la rassuraient. Elle s’abandonna quelques minutes aux caresses de la jeune
femme puis elle senti un manque, son Lo, elle avait besoin de lui, de sa peau,
de son odeur, de ses mains pour se sentir complètement en confiance. Elle
l’appela donc entre deux soupirs de plaisir, il s’approcha en silence pour
saisir sa main et lui murmurer à l’oreille que tout allait bien, qu’elle n’avait
jamais été aussi belle et que c’était encore plus glamour que dans ses rêves. A
ces mots le corps tout entier de Délys se relâcha et elle senti les lèvres de
la jeune femme se poser sur son pubis et remonter vers son nombril, les cheveux
lui caressaient le ventre au passage et le voyage des douces lèvres continua
jusqu’au sillon d’entre ses seins gonflés de désir, c’est à ce moment qu’elle
senti une sensation d’une rare douceur sur son ventre, les seins de la jolie
inconnue venaient de se poser sur sa peau…et suivaient le mouvement des lèvres
sur sa poitrine. Ses mains se dirigèrent instinctivement vers cette zone et se
glissèrent entre son corps et la peau douce de cette poitrine généreuse. Elle
n’osa pas tout de suite les saisir mais se rappela des caresses de son homme
qu’elle appréciait jusqu'à la douleur, ses doigts se refermèrent donc
vigoureusement sur les seins arrachant un petit cri de plaisir à la demoiselle
qui s’affairait sur son téton droit en le faisant claquer entre sa langue et sa
lèvre inférieure, tout en l’aspirant légèrement. Surprise, Léa leva les yeux
vers les deux amoureux qui la regardaient, ses seins étaient compressés entre
les fins doigts de Délys, elle avait chaud, très chaud, elle fit glisser son
corps le long de celui de la jeune femme pour que leurs lèvres puissent se
rejoindre, mais ce sont celles de Lo qu’elle rencontra en premier, sa langue
humide et douce caressait goulûment sa bouche, léchait ses lèvres, se promenait
sur ses dents…C’est alors qu’elle senti le corps de Délys se raidir, Oups,
était elle allée trop loin avec son homme ?, mais c’était lui qui avait
trouvé ses lèvres ! Léa ouvrit les yeux pour regarder la belle et aviser
de sorte à ne pas la choquer mais à peine eut elle le temps de penser qu’elle
senti la bouche de Délys se poser dans son cou et remonter rapidement vers les
deux bouches déjà en action, Ouf, le charme ne sera pas rompu. Les trois
langues jouaient entre elles, les mains de Lo se mêlèrent aux caresses des
filles mais sa bouche descendit les deux corps enlacés tantôt sur l’une tantôt
sur l’autre, sa langue experte savait ou s’arrêter, insister et titiller les
zones érogènes, il essayait de ne privilégier aucune des deux femme, il était
bien sûr tenté par l’inconnu mais le corps de son amoureuse qu’il connaissait
par cœur le rassurait, il s’amusa à comparer les réactions des deux filles, Léa
réagissait vraiment aux caresses du ventre, Délys quand à elle, était sensible
des cotes… Il se régalait écoutant toujours les réactions des filles pour vérifier
que Délys était à l’aise. C’était lui qui avait organisé cette rencontre avec
la jolie Léa d’Internet, Délys avait toujours parlé de coucher avec une autre
fille mais il la savait angoissée à l’idée de passer à l’acte…pourtant tout
avait l’air de se passer à merveille…elles chuchotaient même…Délys avait l’air
heureuse, rassuré, il plongea entre ses cuisses.
Quelle douceur d’embrasser le doux visage d’une femme, pensait Délys,
empoignant en même temps les longs cheveux de Léa qui embrassait le grain de beauté
qu’elle avait déjà remarqué au creux de son cou sur les photos...Léa lui
demanda tout doucement à l’oreille si tout allait bien, si ça n’allait pas trop
vite, la belle répondit avec un sourire qui laissait deviner ses jolies
incisives que non, tout était parfait et se mordit la lèvre quand la langue de
son chéri atteint son clitoris… Passé le moment du premier contact sur son
sexe, Délys glissa sa main sur le pubis de Léa et caressa délicatement son
sexe, là, la sensation lui était moins étrangère, elle s’était tant de fois
caressée mais ses doigts devaient chercher pour trouver l’entrée du vagin,
passer les grandes lèvres, ah le clitoris et son capuchon(Léa souffla très fort
dans son cou), puis les petites lèvres s’écartent c’est la que c’est tout mouillé,
très très mouillé d’ailleurs se dit elle quand Lo glissa sa langue dans son
petit trou, il la connaissait vraiment bien, elle fut impatiente de comparer
avec les caresses de cette femme qu’elle serrait dans ses bras et que son index
qui venait juste de rentrer profondément en elle faisait se contorsionner de
plaisir.
Quelle ne fut pas la surprise de Lo quand quittant le merveilleux
derrière de sa femme pour goûter celui de Léa, il tomba sur la main de Délys,
oui, ce sont bien ses bagues qu’il reconnaît là, lui qui se faisait du souci
pour sa belle, elle semble s’être plutôt bien adaptée à la situation !!!
Mais il n’avait aucun doute à ce sujet, jamais il n’aurait pris le risque de la
mettre mal à l’aise ou de la blesser, elle était très joueuse sexuellement, et
ce genre de jeu lui plairait à coup sûr….il était content et enfonça son visage
dans le sexe de Léa, plus salé que l’autre… tiens tiens ?
Léa senti le doigt de sa copine sortir délicatement de son sexe frottant
au passage les zones les plus sensibles de son corps, la langue de Lo pris le
relais, elle se serra dans les bras de Délys tant la sensation était puissante,
elle tendait ses fesses dans la direction de Lo, tous ses trous étaient grands
ouverts prêts à recevoir une dose de plaisir…c’est à ce moment la que Délys se
dégagea de ses bras pour s’installer tête-bêche avec elle, lui présentant ses
cuisses ouvertes et son sexe rasé, d’un rose frais luisant de jus et de salive.
Léa s’engouffra entres les jambes de sa belle et explora d’abord chaque parcelle
de cette zone qu’elle avait entr’aperçu un jour sur la webcam…toute la peau
était d’une grande finesse, le goût ? plutôt sucré… toujours la même odeur
de parfum et de transpiration qu’elle avait senti quand elles avaient échangé
leurs strings toute à l’heure…depuis cet instant, son esprit était tout entier
focalisé sur ces quelques centimètres carrés de tissu qui collaient à son sexe…
les lèvres de Délys s’ouvraient toutes seules, Lo avait déjà réveillé les
sensations, il ne restait plus qu’à laisser aller les caresses pour la faire
décoller…elle glissa la pointe de sa langue dans la fente et fit vibrer tout
l’intérieur de son vagin, enfila un doigt pour chercher le point G tout en
titillant son petit clito tout gonflé de plaisir et de désir. Lo savait y faire
pour caresser une femme, sa langue, ses
lèvres et ses doigts se relayaient dans le sexe de Léa, qui mouillait de plus
en plus…mais si Léa était tête-bêche avec Délys et que Lo s’affairait
entre les cuisses de la première ? Mais que faisait Délys ? et bien
elle gémissait tendrement sous les caresses de l’inconnue tout en ayant les
yeux fixés sur son homme qui léchait, mordillait, frottait le sexe de sa
partenaire, et ça l’excitait comme une folle, elle se tordit pour présenter son
anus a la belle, elle voyait Lo caresser le petit passage de leur conquête,
elle voulait qu’elle lui ouvre ce passage aussi, Léa obtempéra en pointant sa
langue dans le cul détendu et offert de Délys….Délys en avait assez des
préliminaires elle se senti suffisamment en confiance pour prendre la direction
des opérations… « Prends moi
mon chéri !! » cria t’elle tout a coup… Presque désolé d’abandonner
son action, Lo se dégagea des cuisses de Léa en lui faisant un sourire
amoureux…Léa aussi avait lâché l’affaire tant ce cri venait du cœur! Délys se
tenait déjà au bord du lit à quatre pattes les fesses tendus vers le plafond,
son sexe offert à la queue de son homme qui la pénétra profondément dès le
premier assaut lui arrachant un long gémissement qui mit Léa dans tous ses états…La
jeune parisienne glissa sous la belle pour jouer avec ses seins pendant que Lo
la prenait avec douceur et fermeté, on pouvait entendre claquer les fesses de
Délys, et chaque claquement était accompagné d’un gémissement, elle disait son
nom aussi « Lo, Oh Lo Oh oui Loo » ses mains agrippaient le
drap tant le plaisir était intense…son visage avait pris l’air sérieux des
femmes qui jouissent, la bouche entr’ouverte, les yeux clos, les joues
crispées… Léa observait, pour elle aussi c’était une première fois, elle avait
déjà couché avec des hommes et fait l’amour avec des femmes mais toujours en
couple, elle était fascinée par le spectacle qui se déroulait sous ses yeux.
Ils étaient jeunes, beaux, drôles, libérés, ouverts à la différence, il
l’avaient accueilli tout de suite comme une amie, autant lui qu’elle, les
sujets de conversation s’imposaient d’eux même, entre deux histoires coquines,
ils s‘intéressaient vraiment à elle, à son humeur, à sa façon de vivre, à son
métier, la musique qu’elle écoute, la politique…et ils étaient là, sur son lit,
en train de se faire l’amour, lui qui respirait très fort, ses fesses allaient
et venaient, et elle la en avant, ses petits seins ballottés de droite à gauche
et ses gémissements tendres et violents…et puis soudain Délys fit sortir Léa de
sa torpeur… « Viens ma Léa, viens je vais te donner du plaisir à toi
aussi ! » c’est ainsi que Délys prit le sexe de Léa dans sa bouche pendant que Lo la prenait, elle utilisait
les mouvements de Lo pour caresser Léa de son visage, en laissant sa langue
pénétrer toutes les parties cachées de la vulve grande ouverte…elle s’en
sortait très bien, Léa lui caressait les cheveux et la pointe de ses seins
frottaient contre le drap….ils jouissaient tous les trois, leurs gémissements
s’accordaient parfaitement ; une parfaite harmonie…Puis survint l’orgasme
de Délys, sentant le moment fatidique arriver, Lo l’avait poussée en avant, son
visage s’était plaqué sur le ventre de Léa, elle entendait battre son cœur très
fort, elle la serra d’autant plus fort et jouit collée à elle les poings fermés
sur le drap, le visage crispé le souffle coupé, les yeux clos et la bouche
grande ouverte, incapable même de produire un son, puis un grand cri, un aaaaah
de délivrance. Dans les secondes qui suivirent elle se détendit totalement,
elle souriait, les joues rougies par le plaisir, elle se libéra du sexe de Lo,
et monta sur Léa pour l’embrasser et lui dire « A toi maintenant ma belle ! » Lo les rejoignit sur le
lit et ce fut Délys qui prit les choses en main dans un grand calme, elle
installa Léa sur le dos, ouvrit ses jambes, caressa son sexe au passage, ses
gestes étaient d’une extrême douceur, Lo vint se placer au dessus de la fille
que sa femme lui offrait, Délys saisit son sexe, écarta les lèvres qui entourent
l’entrée du vagin de Léa et y fit pénétrer elle-même le pénis de son homme, ce
pénis qu’elle était la seule a caresser, à sucer, à frotter contre son corps,
elle venait de l’offrir à Léa qui à son tour poussait des gémissements de
plaisir. Délys observait aussi Lo qui visiblement était très appliqué, très
attentif aux réactions de Léa qui se tenait étendue les jambes en l’air…Délys
regardait aussi le beau sexe de Lo qui entrait et sortait du corps de leur
amante, des lèvres de Léa qui épousaient parfaitement la forme de la verge, de
ses petites fesses écrasées sous le poids de la pénétration, et les testicules
de Lo qui venaient frapper contre le cul de Léa… Elle s’approcha des deux sexes
en action, saisit les couilles de son hommes avec délicatesse pour les caresser
et d’un doigt qu’elle venait d’humidifier dans son propre sexe caressa et
pénétra l’anus de la jolie parisienne et se régla sur le rythme inverse de
celui de Lo pour procurer le maximum de plaisir a Léa… l’effet fut immédiat, la
jeune femme se contracta et poussa un cri de jouissance puissant…
Une fois l’effet passé, les quatre mains de Léa et Lo se joignirent pour
caresser la belle Délys, Léa s’occupait des seins et du clitoris pendant que Lo
préparait gentiment le petit trou de sa princesse, le corps de Délys se remit
en action, les gémissements les petits cris quand Lo écartait son anus, un
doigt « mmmh », puis deux « haaaaan », puis trois
« ooooooooh » pendant que Léa la caressait, quoi de meilleur ?...quoi ?
et bien la suite, quand Lo la sodomisa, à quatre pattes et que Léa s’était
glissée sous elle pour continuer à stimuler son sexe, Délys senti son esprit
défaillir de nouveau, le nirvana s’ouvrait à elle, elle sentait son homme et sa
nouvelle femme en même temps s ‘introduire tous deux dans son corps et lui
arracher des râles de plaisir, puis les assauts de Lo se firent un peu plus
violents moins rythmés, son souffle devenait court, toutes deux comprirent que
Lo était sur le point d’éjaculer, Léa sorti d’entre les pattes de Délys et alla
se glisser contre le dos musclé et luisant de L’homme qui leur avait si bien
fait l’amour, elle l’entoura de ses bras, glissa une main sous ses bourses et
plaqua son sexe contre ses fesses pour sentir chaque vibrations de sa
jouissance….comme prévu, Lo fut pris de cinq ou six longs spasmes, le sperme
coula dans les profondeurs de Délys qui elle aussi ressentait chaque vibration,
ils ne formaient plus qu’un seul être, qu’un seul corps….ils s’écroulèrent tous
les trois enlacés sur le lit défait ; le soir venait de tomber sur Paris,
une belle nuit chaude commençait et les deux filles se tenaient la main
par-dessus l’homme qui leur avait permis de se retrouver là, Léa n’arrivait pas
à dormir, elle ne voulait pas que cette journée se termine…puis ses yeux se
fermèrent et elle s’endormi blottie contre son « pti’couple »…
FIN…EN ATTENDANT LE P’TI DEJ’…..
…à Adeline et son prince charmant…
LEA